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Signe typographique indispensable, à utiliser toutefois avec parcimonie, il relie les termes d’un mot composé, d’un verbe à la forme interrogative, etc. A distinguer du tiret, plus long, et dont l’utilisation diffère (marque de dialogue, par ex.)
En écriture spontanée, on écrit sur des temps courts, de 3 à 20 minutes. On va ainsi à l’essentiel sans se censurer. Et durant un atelier de 3 heures, on écrit à plusieurs reprises.
C’est l’homme, paraît-il… N’en déplaise à Buffon, le style, c’est le propre de chaque auteur L’objectif de 26 lettres, etc. : accompagner chacun.e dans la découverte du sien.
Un moment décisif de l’atelier où, après la lecture d’un texte, les autres participants font part de leur ressenti : pas de jugement esthétique ou littéraire, mais l’évocation des émotions perçues, des résonances du texte en chacun et l’opportunité de découvrir ses richesses insoupçonnées.
Court texte au dos du livre, il doit donner envie de le lire sans le déflorer. Tout un art à rédiger et parfois un jeu d’atelier : rédiger la 4ème d’un titre imaginaire…
Points, virgules, tirets… Comme l’alphabet, ils sont indispensables pour écrire. Les utiliser à bon escient est parfois un casse-tête. Corrections et modules de formation sont là pour y remédier.
L’écoute et la lecture, la bienveillance et la gourmandise, Word et les bons vieux dictionnaires. Une expérience ancienne et éprouvée, un goût pour l’écrit et les histoires, la recherche du mot juste.
En atelier, on s’en moque : ce qui compte c’est être spontané et ne pas se prendre la tête. Mais pour un texte abouti, elle est capitale. Et elle se perd…
Heureusement, on peut toujours corriger !
A mille lieues de l’écriture spontanée. Ouvroir de littérature potentielle, créé en 1960. Il réunit écrivains et mathématiciens, ils s’amusent à élaborer des contraintes et des jeux d’écriture très savants pour stimuler la création, à l’instar de G. Perec.
Pas facile de bien jauger le registre à utiliser dans un texte, notamment un écrit professionnel. Savoir s’adapter à ses lecteurs, choisir son vocabulaire et son style sont des modules proposés par 26 lettres, etc.
art de faire découvrir à autrui ses richesses intérieures., à l’instar de Socrate. Les ateliers, l’accompagnement individuel et tout le travail de 26 lettres, etc. reposent sur ce principe d’accouchement.
1) En atelier : moment où chacun lit (s’il ou elle le désire) son texte avant de recevoir les réactions des autres membres du groupe.
2) A la carte : analyse fouillée d’un manuscrit avec une attention portée aux points à améliorer et aux qualités du texte. Il peut y avoir des lectures successives des différentes versions.
En écriture spontanée, on écrit au kilomètre sans relire, se corriger ni raturer et, dans le premier jet d’un texte, des pépites belles, originales,, sensibles, efficaces. Libre à l’auteur de retravailler après.
Langue aride constituée de mots techniques, anglais, abréviations, acronymes… Indigeste, voire incompréhensible. Trop d’écrits professionnels en sont truffés. Chez 26 lettres, etc. on le débusque ou on joue avec.
(Jargon d’atelier) Démarreur d’écriture et matière première, jamais thème à traiter. Chacun.e est libre : en prendre un, deux, aucun, les prendre tous ou les laisser de côté s’ils n’inspirent pas !
En atelier, chacun est libre d’expérimenter tout type de texte dans tous les registres. Inventer, se déguiser, se raconter, tout imaginer… tout est possible.
Elément fondamental de l’atelier, il décide des temps d’écriture et crée les dispositifs, sous l’œil bienveillant de l’animateur garant du cadre et gardien du temps. Avec ses retours, chacun découvre les richesses des textes.
une page de 1500 signes : longtemps unité de mesure de référence en presse et édition, liée à la machine à écrire = une page de 1500 singes (25 lignes x 60 signes). Les statistiques des traitements de texte tendent à le remplacer.
Chez 26 lettres, etc. on écrit de 8 à 88 ans ! Un atelier pour les 8-14 ans, un autre pour les jeunes de 15 à 20 ans. Et, pourquoi pas des stages pendant les vacances scolaires ?
Une lecture attentive de votre manuscrit (littéraire, personnel, professionnel…), une analyse approfondie et des pistes pour l’améliorer en dialogue avec vous.
Pour faciliter l’écriture, le groupe élabore des jeux ou des consignes, certains très simples, d’autres plus sophistiqués. L’amusement et la fantaisie ont libre court tant à la conception autant qu’à la lecture.
Presque partout, la proposition d’écriture est préparée par l’animateur, souvent à partir du texte d’un auteur lu en ouverture. Ici, c’est le groupe qui invente ce qui fait écrire.
Un texte abouti se doit d’être parfaitement présenté et sans aucune faute d’orthographe, de grammaire ou de typographie, corrections sur mesure. Et sur demande, suggestions de style et de réécriture.
Ici, ni recettes ni ficelles ni algorithme… L’accueil est personnalisé, la lecture approfondie et l’accompagnement sur mesure pour révéler les styles, quel que soit le propos.
Pour écrire, il faut au minimum 26 lettres, des signes de ponctuation et du papier ou un clavier. Le reste n’est que littérature…
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L’écoute, la lecture, la bienveillance et la gourmandise, Word et ses fonctionnalités et les bons vieux dictionnaires. Une expérience ancienne et éprouvée, un goût pour l’écrit, les histoires des autres et le choix du mot juste.
Un moment décisif de l’atelier où, après la lecture d’un texte, les autres participants font part de leur ressenti : pas de jugement esthétique ou littéraire, mais l’évocation des émotions perçues et des résonances du texte en chacun ; l’opportunité de découvrir ses richesses insoupçonnées.